Le chef de l’opposition britannique victime de "cybersquatteurs"

Les internautes se connectant par mégarde au site avoisinant www.webcameron.info, dont un petit parti politique rival, l’UKIP, s’est porté acquéreur, peuvent y voir des vidéos satiriques de Cameron, alors que ceux naviguant sur www.webcameron.com partent à l’autre bout du monde, à Melbourne, en Australie, pour une ballade dans l’univers poétique d’un jeune artiste méconnu, Cameron M. Semmens.
Le parti Conservateur a indiqué ne pas attacher d’importance à ce faux-pas. "Nous trouvons cela amusant et accueillons avec plaisir la publicité supplémentaire qui nous est offerte", a indiqué l’un de ses porte-parole.